Sophie la girafe a, maintenant plus de 50 ans, mais la fête a été entachée par UFC Que choisir. En effet, ce jouet incontournable ayant marqué plusieurs générations avait essuyé des polémiques négatives à son encontre. C’est avec fierté que la marque française Vulli est venue éteindre le feu et sauver la réputation de la petite girafe.

L’origine de la polémique

Sophie la girafe est devenue un jouet indispensable à travers le temps. Tous les bébés de toutes les générations aiment la mordiller. Sa conception est, après tout, parfaitement axée dans le sens pratique pour les enfants. Il est facile de l’attraper et de l’appréhender. Toute la conception de Sophie la girafe tend à favoriser l’éveil de bébé. La mâcher tout en la faisant couiner, qui n’a pas aimé ça dans le temps ? Malheureusement, la petite girafe a été très mal jugée par UFC Que choisir qui est une association de consommateurs.

D’après UFC, le jouet contiendrait du bisphénol a et du phtalate. Ces deux substances étaient peu recommandées pour les enfants. Cette hypothèse rendue publique a grandement entaché la confiance des consommateurs dans le hochet. En outre, toujours dans l’hypothèse de cette critique, Sophie contiendrait, en plus, un haut niveau de nitrosamines. Une autre substance que peu de gens connaissent, mais qui est mauvaise pour les enfants. Cette polémique malgré qu’elle vienne d’un laboratoire est, pourtant, non fondée. Une accusation à tort que la marque française Vulli s’est donné à cœur de répondre. Il était temps que l’on prenne la parole en faveur de la petite girafe. Des paroles qui viennent avec des preuves.

La réponse de Vulli

Vulli a répondu, à raison, face aux accusations non fondées d’UFC Que choisir. En effet, la marque française a fait comprendre à tous les consommateurs que Sophie la girafe était fabriquée selon les normes. D’ailleurs, la marque dépense toujours des fortunes pour que le jouet soit conforme aux normes européennes et françaises. Sur plus de 50 millions d’exemplaires de Sophie vendue, aucun problème n’a jamais été détecté.

Notons que chaque lot de fabrication de « Sophie la girafe » est testée par des laboratoires comme la DGCCRF avant d’être proposé aux consommateurs. Certes, le jouet contient quelques traces minimes de nitrosamines. Seulement, la quantité présente dans le jouet est conséquemment en dessous de ce que la norme exige. C’est suite au procédé de vulcanisation de la sève de l’hévéa que la nitrosamine est présente dans le jouet. Cependant, la marque Vulli travaille sur un programme de modification de la fabrication afin d’atteindre le « zéro trace ». Sophie est construite à la main suivant 14 opérations manuelles. Elle est également faite en caoutchouc naturel de bois d’hévéa. Ce dernier étant un matériau 100% saint pour tous les enfants.

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